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Le heaume est un casque de cavalerie emblématique de la chevalerie,
protégeant toute la tête.
Durant l'Antiquité, les Grecs portaient
déjà un casque rappelant par sa forme le heaume médiéval
et le casque romain enveloppait exactement le crâne de la même
manière, mais ils laissaient tous deux le visage à découvert.
À son apparition à la fin du XIIe siècle, le heaume
était d'abord constitué d'une simple calotte d'acier à
laquelle était fixé un masque couvrant le visage puis
il évolua en enclosant totalement la tête pour un meilleure
protection. Le casque conique à nasal (d'origine normande), utilisé
jusque là en Europe depuis le Xe siècle, sortira définitivement
de l'usage au XIIIe siècle.
Les améliorations successives du casque,
qui consistèrent à couvrir de plus en plus le visage,
rendirent difficile l'identification de son propriétaire. On
peut voir, sur la tapisserie de Bayeux, Guillaume de Normandie obligé
de relever son casque pour montrer à ses hommes qu'il est toujours
en vie. On pense que c'est cela qui a donné naissance à
l'héraldique, science des blasons, afin d'identifier les combattants
par leurs armoiries.
Le heaume pouvait faire preuve d'une certaine
recherche artistique, avec des motifs floraux ou géométriques
obtenu par peinture, ajout de rivets surnuméraires ou de reliefs
décoratifs métalliques, sculpture de la croix de renfort
la partie faciale, etc. Lors de l'ouverture des tournois, les heaumes
des participants étaient surmonté d'un cimier, à
la manière des casques antiques, bien que parfois beaucoup plus
travaillés. L'ensemble était disposé près
de l'écu armorié pour la montre des heaumes, parade au
cours de laquelle les hérauts identifiaient les jouteurs, et
les dames pouvaient débouter les chevaliers qui avaient manqué
de respect au beau sexe.
Au début du XIIIe siècle, dans
un soucis de mieux protéger le visage, fut créé
le heaume cylindrique, enveloppant la tête entière avec
des fentes pour les yeux. Bien que peu d'armes contondantes pussent
alors venir jusqu'à la tête du chevalier, le sommet plat
consitutait une régression par rapport au casque précédemment
en usage. L'amélioration des techniques de forgeage au cours
du XIIIe siècle permit de revenir à une forme conique
[1], ce qui rendait moins vulnérable au coups portés sur
le dessus de la tête. Finalement, le heaume prit une forme ogival,
dite en pain de sucre [2] au XIVe siècle.
Dans le même temps, afin de laisser moins
de prises pour les flèches et surtout les lances des adversaires
chargeant avec la nouvelle technique de la lance couchée, les
ouvertures d'aération, de même que celles pour la vue,
diminuèrent fortement en nombre pour les premières et
en taille pour les secondes. Ce heaume était lourd et rendait
la respiration difficile ce qui explique qu'il était uniquement
porté pendant le combat.
Vers le début du XIVe siècle, le
masque facial devint mobile, permettant ainsi d'avoir le visage à
découvert en dehors des moments critiques [3]. Cette dernière
évolution, améliorant considérablement le confort
du chevalier, préfigurait l'arrivée du bassinet, plus
légér, mieux étudié pour dévier les
coups et dont la visière facilitait grandement la respiration.
Vers la fin du XIVe siècle, un nouveau
heaume très renforcé apparut : le heaume à tête
de crapaud. Ses surfaces fuyantes permettaient de dévier les
coups et il fut très utilisé dans les tournois et joutes.
Le heaume cesse complètement d'être
utilisé à la fin du XVe siècle, remplacé
par l'armet et la salade.
Un casque est une pièce d'armure ou un équipement de protection
individuelle destiné à protéger la tête de
chocs et de blessures. Les casques sont souvent munis d'une sangle évitant
la chute du casque : jugulaire (la sangle passe sous le menton) ou mentonnière
(la sangle passe sur la pointe du menton).
Initialement, les casques étaient en métal.
De nos jours, ils sont en matière plastique, et comportent, en
général, trois parties :
la garniture intérieure en mousse qui
assure un confort et une bonne ventilation (évite le coup de
chaleur) ;
la coiffe en mousse solide, qui s'écrase en amortissant le choc
; de ce fait, les casques sont à usage unique, c'est-à-dire
doivent être changés après chaque accident ;
la coque extérieure qui protège des objets pénétrants
et des abrasions.
Par l'utilisation des matières plastiques le casque est plus
léger, plus confortable et ergonomique.
Un autre progrès important pour augmenter
la capacité de protection tout en améliorant le confort
à été apporté par la conception anatomique
de certains casques de protection. Les casques traditionnels traitent
les impacts crâniens d'une manière uniforme et ils sont
testés sur des fausses têtes métalliques. Les nouveaux
casques anatomiques ont été inventés en France
par des neurochirurgiens à la fin du XXe siècle. En utilisant
la matière d'une manière intelligente et adaptée
à la structure interne de la tête ils sont plus performants
tout en étant moins volumineux.
Le casque a été utilisé par les guerriers dès
l'Antiquité sur tous les continents. En Europe, selon sa forme,
il portait le nom de bourguignotte, cabasset, heaume, salade (souvent
associé à un gorgerin)… Il servait à parer
les coups d'épée, d'armes contondantes (type masse d'arme)
et les flèches.
Avec l'arrivée des armes à feu,
il est devenu obsolète, de même que le reste de l'armure.
Il est réapparu durant la Première Guerre mondiale, pour
protéger des blessures occasionnées par les éclats
d'obus, les Allemands ayant été équipés
dès le début contrairement aux Français.
Actuellement, le casque reste employé
par les armées du monde entier pour protéger le soldat
contre les éclats (de grenade, d'obus, de roquette...) ou dévier
une balle rasante, mais il est incapable d'arrêter une balle le
percutant de plein fouet, en raison du pouvoir de pénétration
élevé de ces projectiles.
Jusque dans les années 1980, le casque
militaire était essentiellement métallique. Les soldats
disposaient en général d'un casque léger sur lequel
on pouvait ajouter le casque lourd. Les casques modernes sont en matériaux
composites.
Le casque de pompiers protège de la chaleur, des chocs (progression
sans visibilité) et chutes d'objets (effondrements). Il peut
être associé à un appareil respiratoire isolant
(ARI) qui permet de respirer même dans une atmosphère enfumée
ou toxique.
Les anciens casques étaient en cuir (États-Unis)
ou en métal (en France : laiton puis inox). Les casques en matière
plastique se sont répandus dans les années 1980.
En France il existe deux types de casques pour
pompiers :
le casque F1 pour les feux urbains : ils ont
un revêtement de nickel pour réfléchir la chaleur,
et disposent de deux visières : une visière anti-projection
(utilisée en secours routier par exemple), et une visière
dorée contre le rayonnement thermique (l'utilisation des visières
est incompatible avec le port de l'ARI) ; ils sont maintenus par une
mentonnière ; on peut mettre un couvre-nuque en tissu aluminisé,
accroché par des Velcro.
le casque F2 pour les feux de forêt : c'est un casque plus léger,
de couleur rouge (pour les hommes du rang); jaune (pour le sous officiers)
ou blanche (pour les officiers), et muni de lunettes de protection et
d'une jugulaire.
Casque de moto : en cas de chute, le casque est destiné à
protéger contre le choc avec le sol ou les obstacles naturels,
mais aussi à protéger de l'abrasion provoquée par
le glissement sur la chaussée. Il est important de noter que,
quel que soit le choc (accident, chute,...), le casque doit impérativement
être changé. D'une manière générale,
un casque se change tous les cinq ans. Le casque de moto a aussi une
fonction de protection des yeux contre le vent, les insectes..., voire
une fonction de confort en comprenant un dispositif de climatisation
ou de chauffage et des haut-parleurs pour écouter de la musique
ou un compagnon de route. Cependant, encore plus qu'en voiture, l'usage
du téléphone portable doit être évité,
car le risque d'accident est très important.
autres sports mécaniques : il protège des coups contre
les montants du véhicule en cas de tonneaux ou d'éjection
du véhicule. En cas d'incendie dans le véhicule il doit
aussi protéger de la chaleur.
VTT, cyclisme, roller : il protège la tête du cycliste
contre les chocs en cas de chute, dans le cas du cyclisme sur route
ou sur piste.
Canoë, kayak : il protège la tête contre les chocs
sous l'eau ou contre les rochers en cas de retournement de l'embarcation
ou de chute à l'eau.
Hockey : il protège contre les chocs contre les murs, contre
un autre joueur ou au sol en cas de chute et contre le risque de blessure
par un palet.
Football américain : il protège des coups possibles entre
joueurs, lors des mêlées ou des chutes.
Escalade, spéléologie : il protège des chutes de
pierres d'une part et de chocs contre la roche ; en spéléologie
il sert également de support à un dispositif d'éclairage.
Équitation : le casque doit protéger la tête en
cas de chute ou contre des branches en forêt. La bombe est un
modèle ancien et dispose d'une faible capacité d'absorption
d'énergie. Les chutes de cheval sont souvent accompagnées
par des traumatismes crâniens graves. La gravité des accidents
est liée à la hauteur de la chute et au risque piétinement
par d'autres chevaux en cas de courses hippiques. Une catégorie
particulière d'accidents comporte un écrasement du jockey
par le cheval. Dans cette situation, bien qu'on rencontre un taux d'hémorragies
intracrâniennes élevé, ce n'est pas l'écrasement
de la tête qui en est responsable mais l'écrasement du
corps du jockey. L'hémorragie cérébrale est due
à l'hyperpression veineuse rétrograde provoquée
par l'écrasement thoraco-abdominal.
Ski : il protège en cas de chute violente, notamment dans la
pratique du ski freestyle ou freeride.